Choisir un plan

Vous désirez :
– un programme d’entraînement sur mesure ?
– augmenter votre niveau actuel et ainsi vous améliorer en course à pied ?
Alors YanOrlandiRun – YOR, vous propose un programme individuel d’endurance

Après avoir rempli le questionnaire ci-après, vous recevrez un plan d’entraînement d’une durée de 3 mois à raison de 3 entraînements par semaine. Les plans comprennent de nombreuses explications ainsi qu’un lexique.

Exemple d’un plan d’entrainement

Exemple d’une annexe

o Marathon ou trail avec distance équivalente au marathon

o Semi-marathon ou trail avec distance équivalente au semi-marathon
o Courses populaires
2e étape : Noter le choix de difficultés de votre programme en fonction de votre niveau
o Débutant : Ne peut pas courir 10km sans s’arrêter

o Moyen : Peux courir 10km sans s’arrêter

o Avancé : Fait moins de 55’ sur 10km

2e étape : Noter le choix de difficultés de votre programme en fonction de votre niveau

o Débutant : N’a jamais participé à un Marathon ou avec un résultat de plus de 4h30

o Moyen : Marathon entre 3h30 et 4h30

o Avancé : Marathon en moins de 3h30

2e étape : Noter le choix de difficultés de votre programme en fonction de votre niveau

o Débutant : N’a jamais participé à un semi-marathon ou avec un résultat de plus de 2h

o Moyen : Semi-marathon entre 1h30 et 2h

o Avancé : Semi-marathon en moins de 1h30

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?

3e étape : Se poser les bonnes questions sur les périodes à choisir (selon explications ci-après)

YanOrlandiRun vous propose de suivre un programme complet afin de suivre les 4 étapes essentielles de l’année.
En effet, l’année est divisée en 4 étapes et chaque étape a ses propres zones d’entraînement (% fréquence cardiaque; durée, etc) et ses micros cycles (semaines dures, normales, légères).

1. La période foncière doit être débutée 3 mois avant le début de la période pré-compétitions, soit 9 mois avant le jour J: Le foncier représente la base de la course de fond ; en résumé, ce sont les fondations de la maison qui permettront ensuite d’avoir un mur et un toit solide. Il s’agit de courir en endurance (70%) ; le volume peut varier. Une fois que l’on est à l’aise en allure d’endurance, on peut envisager de faire des entraînements en qualité, mais il faudra toujours veiller à conserver un certain volume foncier.

2. La période pré-compétitions doit être débutée 3 mois avant le début de la période compétitions : durant cette période, on travaille le seuil aérobie qui correspond à la fin de l’endurance de base. C’est le seuil à partir duquel le corps va devoir s’employer plus intensément pour fournir l’énergie qui nous sert à avancer. On n’utilise davantage les fibres musculaires lentes qui sont faites pour durer longtemps et ces fibres lentes utilisent les graisses et les sucres.

3. La période compétitions doit être débutée 3 mois avant le jour J : durant cette période, on va courir les entraînements au seuil anaérobie ; c’est-à-dire à la vitesse à partir de laquelle notre corps ne pourra plus « auto- nettoyer ‘’ les muscles de cette acidité produite durant l’effort. C’est aussi la période où on attaque les compétitions.

4. La période régénération active : cette période dure aussi 3 mois. Durant celle-ci, il vous est proposé des entraînements actifs à faible intensités afin de mieux préparer l’organisme aux processus de régénération et de pouvoir envisager de commencer ou recommencer un cycle complet de 4 périodes de 3 mois.

a. Est-ce que j’ai déjà une base solide au niveau kilométrage (période foncière) ?

  > Oui
b. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil aérobie qui correspond à ce qu’on pourrait appeler de l’entraînement en endurance active (période pré-compétitions) ?
  > Oui

c. Est-ce que j’ai l’habitude de varier mes entraînements en travaillant régulièrement dans le seuil anaérobie (tempo de course 10km voir moins) qui correspond à ce qu’on pourrait appeler la limite physiologique (période compétitions) ?

  > Oui

d. Est-ce que je veux profiter de précieux conseil afin de récupérer et en même temps de rester actif (période régénération active)?